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Mes musiques de film du moment : American Crime Story, If Beale Street pouvait parler…

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Dans ma voiture à 7h30 du mat’, dans mon salon le dimanche aprem’, que du bon son dans les oreilles. Et en ce moment, ce qui tourne en boucle, c’est ça. Une variété d’ambiances sonores. A chaque mood, son univers :

  • La musique cocoonique du dimanche :  This is Us (série)

Après une première saison incroyable, une deuxième saison mitigée et une troisième saison ennuyeuse, je reviens à la bande-son du début en écumant les morceaux chamallow de la playlist. L’artiste à retenir : Sufjan Stevens. Après une journée morose, rien de mieux que sa folk suave et les murmures de sa voix feutrée pour attenuer les tensions.

Top 3 des musiques de Sufjan Stevens : 

  • Carrie & Lowell
  • Should Have Known Better
  • Death with Dignity

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  • L’électro qui « réveille » : Bang Gang (film)

Cette petite pétite du cinéma français, passée inapercue sur Netflix, se présente comme un teen movie aux influences Sofia Coppola/Larry Clark. C’est pop, gentiment provoque et fort sympathique. Qui plus est, la bande-son vaut le détour. Que ça soit pour les pistes électro qui filent la pêche (Yo ! Dinamics scratched Remix de Donovans) ou les morceaux d’ambiance doucement psychédélique (Tracking Me de Clement Bazin). Mais je retiens surtout les compositions du groupe White Sea qui me réveillent respectivement à : 6h40 (la chanson Kook), 6h45 (I’d Rather Watch) et 6h52 (Gabriel’s Galaxy) le matin.

Top 3 des musiques du film : 

  • Yo ! Dinamics scratched Remix de Donovans
  • Tracking Me de Clement Bazin
  • I’d Rather Watch de White Sea

  • La musique qui fait palpiter le coeur : American Crime Story : the Assassination of Gianni Versace (série)

La seconde saison du docu-fiction Netflix American Crime Story revient sur l’assasinnat du célèbre couturier Gianni Versace. Une série à la mise en scène d’une majesté et d’une maîtrise folle, centrée sur le meurtrier : Andrew Cunanan (Darren Criss, Golden Globe du meilleur acteur pour le rôle). La scène d’ouverture est tout simplement stupéfiante : l’Adagio in G Minor du compositeur Mac Quayle est un orgasme auditif.

Top 3 des musiques de la saison :

  • Adagio in G Minor de Mac Quayle
  • Self Control de Laura Branigan
  • Drive d’Aimee Mann

Un extrait de la scène d’ouverture
  • La musique caressante pour le yoga : If Beale Street Could Talk (film)

Je l’ai déjà dis ici, If Beale Street Could Talk est un drame d’une mélancolie pénétrante qui ne laisse pas insensible. Et comme tout film à l’émotion à fleur de peau, la partition musicale y est pour quelque chose. Merci au compositeur Nicholas Britell pour son OST à l’instrumental au lyrisme déchirant. Douceur et lenteur. Parfait pour une session yoga at home.

Top 3 des musiques du film :

  • Eros
  • Eden (Harlem)
  • The Children of Our Age

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  • L’électro qui décoiffe : Climax (film)

La claque de 2018. Le deuxième visionnage est toujours aussi jouissif. La bande-originale est à l’image du film : azimutée, péchue, affolante. Le genre de son qui rappelle les ambiances surnaturelles de soirée, lorsque, sur les coups de 3h du mat, un parfum animal et moite soulève une foule fauve aux yeux éteints par l’alcool.

Top 3 des musiques du film : 

  • Supernature (Instrumental Climax Edit de Cerrone
  • Trois Gymnopedies (First Movement) de Gary Numan
  • Technic 1200 par Dopplereffekt

Un extrait de la scène d’ouverture